Les paroles de Dieu m’ont conduit à me libérer de mes appréhensions

1 mars 2025

Par Bai Lu, Chine

Un jour, à la mi-novembre 2023, j’ai reçu une lettre d’un dirigeant supérieur qui disait que les frères et sœurs m’avaient élue pour être dirigeante de district et qu’ils demandaient si je voulais me charger de ce devoir. Confrontée à ce devoir inattendu, mon cœur a soudain commencé à battre la chamade et j’ai pensé : « Mon calibre est moyen et je suis incapable de m’exprimer. Bien que j’aie été auparavant dirigeante et ouvrière, j’ai quelques lacunes dans les échanges sur la vérité pour résoudre des problèmes et j’ai échoué à renvoyer de faux dirigeants en temps voulu quand j’étais prêcheuse, ce qui a mené au chaos dans l’Église et m’a laissé avec des transgressions dans mon sillage. Maintenant, j’ai été choisie comme dirigeante de district. Je sais que ce devoir exigera encore plus que j’échange sur la vérité pour résoudre des problèmes et que j’aurai besoin de diriger différents aspects du travail et d’avoir du discernement sur les gens. Puis-je gérer cela ? Si je ne comprends pas les vérité-principes, que j’interromps et perturbe le travail et que je finis par être renvoyée, alors non seulement mes vraies capacités seront révélées, mais je laisserais aussi des transgressions significatives et je ne pourrais pas avoir une bonne fin ou une bonne destination. » J’ai continué à hésiter et à me demander : « Dois-je accepter cela ou pas ? » Cette nuit-là, je me suis tournée et retournée dans mon lit, incapable de dormir. La pensée d’accepter ce devoir me donnait l’impression d’être écrasée par une montagne et je craignais que si je ne faisais pas bien de ce devoir, je serais révélée et renvoyée. Je suis venue devant Dieu pour prier, « Dieu ! Je sais que ce devoir est Ton exaltation de moi et que je dois me soumettre de manière inconditionnelle, mais je continue à considérer mon avenir et mes perspectives et chemins futurs et je ne peux pas me soumettre. S’il Te plaît, éclaire-moi pour comprendre Ton intention. »

Le jour suivant, pendant mes dévotions, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Aujourd’hui, vous n’avez pas à répondre à des exigences supplémentaires, mais vous devez accomplir le devoir de l’homme et ce qui devrait être fait par tous les gens. Si vous êtes incapables de faire même votre devoir, ou de le faire bien, alors ne vous attirez-vous pas des problèmes ? Ne courtisez-vous pas la mort ? Comment pourriez-vous encore espérer un avenir et une expectative ? L’œuvre de Dieu est faite dans l’intérêt de l’humanité et la coopération de l’homme est donnée dans l’intérêt de la gestion de Dieu. Après que Dieu a fait tout ce qu’Il est censé faire, l’homme est tenu d’être sans failles dans sa pratique et de coopérer avec Dieu. Dans l’œuvre de Dieu, l’homme ne devrait épargner aucun effort, devrait offrir sa loyauté, et ne devrait pas se livrer à de nombreuses notions ou s’asseoir passivement et attendre la mort. Dieu peut Se sacrifier pour l’homme, alors pourquoi l’homme ne peut-il pas offrir sa loyauté à Dieu ? Dieu Se donne de cœur et d’esprit à l’homme, alors pourquoi l’homme ne peut-il pas coopérer un peu ? Dieu œuvre pour l’humanité, alors pourquoi l’homme ne peut-il pas effectuer une partie de son devoir pour le bien de la gestion de Dieu ? L’œuvre de Dieu a progressé jusqu’à aujourd’hui, et encore vous voyez, mais n’agissez pas, vous entendez, mais ne bougez pas. De telles gens ne sont-ils pas l’objet de la perdition ? Dieu S’est déjà donné complètement à l’homme, alors pourquoi, aujourd’hui, l’homme est-il incapable d’accomplir sincèrement son devoir ? Pour Dieu, Son œuvre est Sa priorité et l’œuvre de Sa gestion est de la plus haute importance. Pour l’homme, la priorité est de mettre les paroles de Dieu en pratique et de satisfaire aux exigences de Dieu. Vous devriez tous comprendre cela » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre de Dieu et la pratique de l’homme). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que ce devoir était l’exaltation de Dieu et une responsabilité à laquelle je ne pouvais pas me soustraire. Si je me dérobais ou que je refusais ce devoir pour protéger mon avenir et ma destination, alors je perdrais la vraie signification de mon être vivant en tant qu’être créé et, si cela arrivait, alors croire en Dieu jusqu’à la fin ne conduirait finalement pas à Son approbation. J’ai repensé à l’époque où j’étais prêcheuse, quand j’ai interrompu et perturbé le travail et que j’ai transgressé, Dieu ne m’a pourtant pas traitée selon mes transgressions. Maintenant que l’Église me donnait encore l’opportunité de faire mon devoir comme dirigeante, je ne pouvais pas m’y soustraire plus longtemps. J’ai pensé : « J’ai un certain manque dans l’échange de la vérité pour résoudre résoudre les problèmes. Je vais être confrontée à toutes sortes de difficultés et de problèmes dans un rôle de direction et ainsi je vais avoir de nombreuses opportunités de pratiquer la résolution des problèmes avec la vérité. N’est-ce pas le meilleur moyen de me former et de m’amender de mes lacunes ? Non seulement cela améliorera mes compétences professionnelles dans diverses tâches, mais je ferai aussi des progrès dans le discernement des gens. Dans le même temps, cela m’a aussi motivée à me concentrer sur la poursuite de la vérité dans mon devoir pour me débarrasser de mon tempérament corrompu. Dieu ne me favorisait-il pas ? » J’ai juste pris conscience combien l’amour de Dieu était grand et j’ai su que si je restais égoïste et méprisable et que j’essayais de me protéger en refusant mon devoir, alors je trahirais les intentions minutieuses de Dieu. En faisant cela, je manquerais vraiment d’humanité !

J’ai pensé à un passage des paroles de Dieu : « Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il reçoive des bénédictions ou souffre d’infortunes. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ce devoir ne devrait pas dépendre de récompenses, de conditions ou de raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Recevoir des bénédictions fait référence au fait d’être perfectionné et de jouir des bénédictions de Dieu après avoir fait l’expérience du jugement. Souffrir d’infortunes fait référence au fait de conserver son tempérament inchangé après avoir fait l’expérience du châtiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expérience d’être perfectionné, mais être puni. Mais qu’ils reçoivent des bénédictions ou souffrent d’infortunes, les êtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne, en tant qu’humain, et qui cherche Dieu. Tu ne devrais pas remplir ton devoir seulement pour recevoir des bénédictions, et tu ne devrais pas refuser d’agir par peur de souffrir d’infortunes. Laissez-Moi vous dire la chose suivante : ce que l’homme doit faire, c’est accomplir son devoir, et s’il en est incapable, c’est sa rébellion. C’est par le processus de l’accomplissement de son devoir que l’homme change progressivement, et c’est par ce processus qu’il démontre sa fidélité. Ainsi, plus tu es capable de remplir ton devoir, plus tu recevras de vérités, et plus ton expression deviendra réelle » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme). Les paroles de Dieu nous disent clairement que peu importe le devoir d’une personne, il n’y a pas de relation avec le fait de recevoir des bénédictions ou des malheurs. En tant qu’être créé, faire son devoir est parfaitement naturel et justifié, c’est notre responsabilité en tant que personne et les gens doivent inconditionnellement l’accepter et obéir. Je pensais à tort que les dirigeants étaient rapidement révélés et éliminés, mais en réalité, même si je ne devenais pas dirigeante, si je ne poursuivais pas la vérité et que j’empruntais le mauvais chemin, ne finirais-je pas moi aussi par être révélée et éliminée ? Dieu dit depuis longtemps que faire son devoir n’a rien à faire avec le fait de recevoir des bénédictions ou des malheurs et que ce qui compte c’est que la personne poursuive et aime la vérité. Maintenant que les frères et sœurs m’ont désignée pour être dirigeante de district, je dois d’abord l’accepter et pratiquer et pour les problèmes et les lacunes dans mon devoir, je pourrais chercher des solutions avec les sœurs qui sont mes partenaires et si il y a encore des domaines qui manquent de clarté, je pourrais aussi chercher la direction d’un dirigeant supérieur. Alors, j’ai répondu que j’étais disposée à faire ce travail. Quand je pratiquais comme cela, je me sentais ferme et en paix dans mon cœur.

Un matin, j’ai vu un témoignage d’expérience vidéo intitulé « Ce qui se cache derrière le refus d’être une dirigeante » et il y avait un passage des paroles de Dieu dans la vidéo qui résonnait réellement avec mon état. Dieu Tout-Puissant dit : « Lorsqu’un simple ajustement est apporté à leur devoir, les gens doivent réagir en adoptant une attitude d’obéissance, en faisant ce que la maison de Dieu leur dit de faire, en faisant ce dont ils sont capables, et, quoi qu’ils fassent, en le faisant aussi bien que possible, de tout leur cœur et de toutes leurs forces. Ce que Dieu a fait n’est pas une erreur. Une vérité aussi simple peut être pratiquée par ceux qui ont un peu de conscience et de raison, mais ceci dépasse les capacités des antéchrists. Quand il est question d’ajustements des devoirs, les antéchrists avanceront immédiatement des arguments, des sophismes, et ils auront une attitude de défi, mais au fond d’eux, ils refusent de l’accepter. Qu’y a-t-il au juste dans leur cœur ? Suspicion et doute. Ils sondent alors les autres, en se servant de toutes sortes de méthodes. […] Pourquoi rendent-ils aussi compliqué quelque chose de simple ? Pour une seule raison : les antéchrists n’obéissent jamais aux arrangements de la maison de Dieu et ils font toujours un lien étroit entre, d’une part, leur devoir, leur renommée, le gain et leur statut et, d’autre part, leur espoir de gagner des bénédictions et leur future destination, comme si, dans le cas où ils perdraient leur réputation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir de gagner des bénédictions et des récompenses, et pour eux, ce serait comme s’ils perdaient la vie. Ils se disent : “Je dois faire attention, je ne dois pas être imprudent ! On ne peut pas se fier à la maison de dieu, aux frères et sœurs, aux dirigeants et aux ouvriers, ni même à dieu. Je ne peux faire confiance à aucun d’entre eux. La personne à laquelle tu peux le plus te fier et qui est la plus digne de confiance, c’est toi-même. Si tu ne fais pas de projets pour toi-même, alors qui va s’occuper de toi ? Qui va réfléchir à ton avenir ? Qui va se demander si, oui ou non, tu vas recevoir des bénédictions ? Par conséquent, je dois faire des projets et des calculs avec soin dans mon propre intérêt. Je ne peux pas faire d’erreurs ou même être le moins du monde imprudent, sinon, que ferais-je si quelqu’un essayait de profiter de moi ?” Et donc, ils se méfient des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, craignant que quelqu’un les discerne ou voie dans leur jeu, craignant d’être ensuite renvoyés et de voir leur rêve de bénédictions gâché. Ils se disent qu’ils doivent préserver leur réputation et leur statut, pour qu’ils aient l’espoir de gagner des bénédictions. Un antéchrist considère qu’être béni, c’est plus vaste que les cieux, plus vaste que la vie, plus important que la poursuite de la vérité, le changement de tempérament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’être un être créé qui soit à la hauteur des normes. Il pense qu’être un être créé qui soit à la hauteur, bien faire son devoir et être sauvé sont autant de choses dérisoires qui valent à peine d’être mentionnées ni remarquées, tandis que gagner des bénédictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais être oubliée. Face à ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il relie tout au fait d’être béni, il est extrêmement prudent et attentif, et il se ménage toujours une issue » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). Dans les paroles de Dieu, j’ai vu que quand un antéchrist se voit réaffecté dans son devoir, il n’envisage pas de se soumettre à Dieu et de satisfaire Son intention, mais il se demande tout d’abord plutôt si ce devoir profite à sa réputation ou à son statut, ou s’il va affecter son issue et sa destination. J’ai vu que des antéchrists croient en Dieu pour les bénédictions et le gain et qu’ils estiment que gagner des bénédictions est plus important que de bien faire leur devoir. J’ai pensé : « Ma révélation est-elle différente de celle d’un antéchrist au regard de ma réaffectation mon devoir ? » Je devrais être reconnaissante pour l’exaltation de Dieu de me permettre de me former comme dirigeante de district et je devrais bien faire mon devoir pour satisfaire Dieu. Mais je continuais à me demander : « Quand j’étais prêcheuse, j’ai transgressé parce que je ne renvoyais pas rapidement les faux dirigeants. Si je deviens dirigeante de district et que j’ai plus de responsabilités, ne serai-je pas plus encline à transgresser et ne serai-je pas révélée plus vite ? Si les choses vont mal, mon espoir de bénédictions dans ma foi volera en éclats. » Pour protéger mon avenir et ma destination, j’ai voulu me soustraire à ce devoir. C’était une réaffectation normale de mon devoir, mais j’ai cru à tort que Dieu voulait me révéler et m’éliminer par ce devoir. N’étais-je pas en train de mal comprendre Dieu ? Dans le passé, je pensais que mon cœur était pur dans ma foi et que peu importe le devoir que l’Église arrangeait pour moi, j’étais capable de me soumettre, mais c’était seulement parce que cela n’empiétait pas sur mes intérêts. Maintenant que je sentais que ce devoir empiétait sur mon avenir et ma destination, je voulais le refuser. J’ai vu que je manquais complètement d’humanité et que j’étais juste une personne méprisable et au cœur étroit qui cherchait seulement le profit ! En réalité, j’ai été renvoyée de mon rôle de prêcheuse non pas à cause de ma position, mais parce que je poursuivais une réputation et un statut et que je ne faisais pas de réel travail. Cependant, la maison de Dieu ne m’a pas éliminée pour cela et, au contraire, elle m’a donné une chance de réfléchir et de me repentir, en continuant à arranger des devoirs pour moi. J’ai aussi pensé à ces antéchrists expulsés de l’Église qui n’avaient pas été révélés et éliminés simplement à cause de leur postes élevées, mais seulement parce qu’ils avaient toujours poursuivi une réputation et un statut, formé des cliques et suscité de la jalousie et des querelles, interrompant et perturbant ainsi le travail. Même après avoir reçu un échange, ils ont refusé absolument de se repentir et seulement alors, ils ont été finalement éliminés. De ceci, j’ai vu que si on ne poursuit pas la vérité, on sera révélé et éliminé peu importe le devoir qu’on fait.

Je me suis alors demandé : « Quels autres points de vue incorrects pourraient être à l’origine de ma réticence à être dirigeante de district ? » J’ai pris conscience plus tard que je sentais qu’être dirigeante de district signifiait être responsable de tout le travail, et que je devais être capable de guider les compétences professionnelles de différents aspects de travail et savoir comment discerner les gens, sinon, je ne serais pas à la hauteur de ce devoir. Cependant, j’avais de nombreuses lacunes en termes de compétences techniques. Alors, je voulais constamment échapper à ce devoir. Ce point de vue était-il conforme à la vérité ? Je me suis souvenue des paroles de Dieu : « En tant que dirigeant, après avoir organisé le travail, tu dois assurer le suivi de l’avancement du travail. Même si tu n’es pas familier de ce domaine de travail, même si tu n’y connais rien, tu peux trouver un moyen de faire ton travail. Tu peux trouver quelqu’un qui saisit véritablement le travail, qui comprend la profession en question, pour que cette personne procède à des vérifications et fasse des suggestions. Tu peux identifier les principes appropriés à partir de ses suggestions, et ainsi tu seras capable d’assurer le suivi du travail » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (4)). Les paroles de Dieu m’ont fourni un chemin de pratique. Même si je manquais encore de maîtrise dans de nombreux domaines techniques de mon rôle de dirigeante de district, Dieu n’a jamais dit qu’on doit comprendre chaque compétence pour faire son devoir. L’intention de Dieu était que je me concentrer sur la poursuite de la vérité pendant ma formation réelle, pour compenser mes lacunes et peu à peu entrer dans les vérité-réalités. Je manquais de compétences techniques, alors je devais chercher la coopération des frères et sœurs qui comprenaient ces choses et, ensemble, nous serions capable de chercher les vérité-principes pour résoudre les écarts et problèmes dans notre travail et, s’il y avait des choses que je ne pouvais vraiment pas comprendre, je pouvais chercher de l’aide auprès de la direction supérieure. Si je faisais vraiment de mon mieux pour coopérer et qu’à la fin, je trouvais encore que ma stature et mon calibre étaient en effet insuffisants pour ce devoir, alors je pourrais démissionner et demander aux dirigeants de m’assigner un devoir plus approprié. Comprendre l’intention de Dieu a vraiment éclairé mon cœur et j’ai oublié mes inquiétudes et mes réticences.

En janvier 2024, la direction supérieure a appris que les résultats du travail d’abreuvement que je supervisais n’étaient pas bons et que ceux qui abreuvaient n’avaient fait aucun progrès et n’étaient pas concentrés sur la culture des nouveaux venus, alors ils ont écrit pour demander si nous rencontrions ces problèmes et comment nous échangions sur le travail d’abreuvement. J’étais surprise et j’ai pensé : « Je suis principalement responsable du travail d’abreuvement et j’ai été occupée tous les jours. Comment n’ai-je pas remarqué tous ces problèmes dans mon travail ? Il semble que mes capacités de travail sont vraiment déficientes. » Je me suis de nouveau inquiétée et j’ai pensé : « Si les personnes chargées de l’abreuvement n’abreuvent pas correctement les nouveaux venus et qu’ils partent, n’aurai-je pas transgressé ? Cela ne signifierait-il pas que je n’aurai pas une bonne fin ? » J’ai pris conscience que j’étais encore en train de considérer ma fin et ma destination et je me suis souvenue de certaines des paroles de Dieu : « Vous devriez tous bien faire votre devoir, avec un cœur ouvert et honnête, et être disposés à payer le prix nécessaire, quel qu’il soit. Comme vous l’avez dit, quand le jour viendra, Dieu ne traitera pas injustement quiconque aura souffert ou payé un prix pour Lui. Ce genre de conviction mérite d’être gardé et il est correct que vous ne devriez jamais l’oublier. C’est seulement de cette manière que Je peux apaiser Mon esprit à votre sujet. Autrement, vous serez à jamais des hommes à propos desquels Je ne peux pas apaiser Mon esprit et vous serez à jamais les objets de Mon dégoût. Si vous pouvez tous suivre votre conscience et donner tout votre être pour Moi, en ne ménageant aucun effort pour Mon œuvre et en consacrant l’énergie de toute une vie pour Mon œuvre d’Évangile, alors Mon cœur ne tressaillira-t-il pas souvent de joie pour vous ? Ainsi, Je pourrai Me rassurer complètement à votre sujet, n’est-ce pas ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Concernant la destination). L’intention de Dieu est de nous parfaire pour que nous puissions entrer dans tous les aspects de la vérité quand nous faisons nos devoirs. J’ai réfléchi sur mon échec à faire un réel travail. Je ne me suis pas occupée des écarts et des problèmes dans le travail d’abreuvement en temps voulu, ce qui a affecté l’efficacité de l’abreuvement des nouveaux venus. Je devais rapidement corriger ces écarts et résoudre ces problèmes. C’était seulement comme cela que je pourrais assumer mes responsabilités. Alors, j’ai rapporté les écarts et les problèmes dans mon travail à la direction supérieure, honnêtement, et je me suis réellement occupée des états des personnes chargées de l’abreuvement et des problèmes des nouveaux venus. Les personnes chargées de l’abreuvement ont aussi pris conscience de l’importance d’être équipé de la vérité et ont trouvé un chemin de pratique dans leurs devoirs. J’en suis venue à sentir que si nous pouvions oublier nos sentiments de méfiance à l’égard de Dieu, ne pas envisager notre avenir et notre destination, et consacrer nos cœurs à nos devoirs, alors, en faisant nos devoirs, nous serons capable de voir la direction de Dieu.

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