Ne pas faire d’effort dans mon devoir m’a porté préjudice
Par Owen, EspagneEn 2018, je travaillais dans l’Église comme concepteur vidéo. Au début, vu que je n’étais pas familiarisé avec les...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En mai 2023, j’ai été choisie comme dirigeante d’Église. Pensant qu’être dirigeante signifiait être responsable de tous les aspects du travail, et que je n’avais jamais été dirigeante auparavant et connaissais mal diverses tâches, je me suis demandé combien d’efforts allaient être nécessaires pour bien faire le travail et quel genre de prix j’allais devoir payer. J’ai songé à trouver un prétexte pour refuser cette fonction, mais les frères et sœurs m’avaient choisie, et me trouver des excuses pour refuser aurait été trop déraisonnable. Ayant cela à l’esprit, je n’ai rien dit de plus. J’ai vu que la sœur avec laquelle je coopérais, Chen Jing, avait été dirigeante pendant de nombreuses années et qu’elle connaissait bien tous les aspects du travail. Chaque fois que j’avais des questions, je les posais donc à Chen Jing, et elle me disait comment gérer les choses. Je m’estimais très chanceuse d’avoir son aide. Auparavant, quand j’avais fait un travail basé sur des tâches uniques, j’étais la force de travail principale et je devais m’inquiéter de tout moi-même, mais maintenant que Chen Jing coopérait avec moi, elle gérait et résolvait les problèmes difficiles et délicats, et j’avais juste à suivre ses indications et à l’assister. Même si la charge de travail était considérable, je n’avais pas l’impression que c’était trop difficile, avec Chen Jing à mes côtés. Chen Jing était responsable de plus de travail que moi, et parfois, je voyais qu’elle était débordée, mais je me disais : « Étant donné que je connais mal le travail dont Chen Jing est responsable, je ne peux pas l’aider, et de toute façon, elle a été dirigeante pendant longtemps, alors ceux qui peuvent faire davantage de travail doivent en faire davantage ! » Donc, quand Chen Jing rencontrait des difficultés dans son travail, je ne lui donnais mes points de vue qu’occasionnellement et je ne me préoccupais pas vraiment des problèmes.
Un jour, en août, Chen Jing a subitement été promue. Quand j’ai appris qu’elle allait être transférée, je me suis immédiatement sentie sous pression. Je n’étais en formation que depuis quelques mois et il y avait beaucoup de choses que je ne savais pas gérer. Ayant Chen Jing à mes côtés, j’avais pu lui poser des questions quand je rencontrais des difficultés, mais comment allais-je pouvoir endosser ces responsabilités si elle partait ? Je ne voulais pas que Chen Jing parte, mais les dirigeants supérieurs avaient déjà pris des arrangements, de sorte que j’ai dû accepter cette situation. Néanmoins, à la pensée d’avoir à gérer tout ce travail toute seule, je me suis sentie submergée et cela m’a mise dans une humeur terrible. Je me suis dit : « Je ne comprends pas le travail dont Chen Jing était responsable, et je vais devoir me familiariser avec tout cela en partant de zéro. Combien de souffrances vais-je avoir à endurer ? Quel genre de prix vais-je avoir à payer ? » Je me sentais vraiment frustrée. Après le départ de Chen Jing, j’ai dû rendre compte du travail moi-même, mais comme je ne m’étais guère renseignée quant à bon nombre de tâches quand Chen Jing avait été là, ou que je ne m’en étais guère inquiétée, je connaissais mal ces tâches et je devais passer beaucoup de temps à les étudier et à les maîtriser. Je me sentais physiquement épuisée et encore plus vidée mentalement, et je n’ai pu m’empêcher de me sentir résistante et insatisfaite vis-à-vis des dirigeants supérieurs. Je me disais : « Pourquoi ne considérez-vous pas les choses de mon point de vue ? Je n’ai jamais été dirigeante auparavant, et je ne me suis formée que brièvement, je ne peux donc pas faire ce devoir de façon autonome. Chen Jing avait été dirigeante pendant des années et elle était compétente dans tous les aspects du travail ; pourquoi l’avez-vous déplacée en me laissant toute seule ici ? » Plus j’y pensais, plus je me sentais affligée et frustrée. J’avais l’impression qu’une lourde pierre pesait sur ma poitrine et rendait ma respiration difficile. Je me suis rendu compte que je satisfaisais les besoins de ma chair, alors j’ai prié Dieu dans mon cœur, en Lui demandant de m’éclairer et de me guider pour que je me connaisse moi-même et que je me soumette.
Au cours de l’une de mes dévotions, j’ai lu ces paroles de Dieu : « La première réaction des antéchrists face aux paroles, aux ordres ou aux principes sur lesquels Christ a échangé – dès que cela leur cause des difficultés ou leur demande de souffrir ou de payer un prix – est de résister et de refuser, en éprouvant un sentiment de répulsion dans leur cœur. Cependant, lorsqu’il s’agit de choses qu’ils sont disposés à faire ou qui leur sont bénéfiques, leur attitude n’est pas la même. Les antéchrists veulent céder au confort et se démarquer, mais se réjouissent-ils en acceptant de faire face à la souffrance de la chair, à la nécessité de payer un prix, ou même de risquer d’offenser les autres ? Peuvent-ils alors réaliser la soumission absolue ? Pas le moins du monde, leur attitude relève exclusivement de la désobéissance et de la récalcitrance. Lorsque des gens comme les antéchrists sont confrontés à des choses qu’ils ne veulent pas faire, des choses qui ne sont pas conformes à leurs préférences, à leurs goûts ou à leurs intérêts personnels, leur attitude envers les paroles de Christ devient celle du refus et de la résistance absolus, dénués de tout signe de soumission » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie IV)). Dieu y exposait que les antéchrists traitent les situations orchestrées et arrangées par Lui selon leurs préférences et leurs désirs, en se demandant toujours si cela profite à leur chair, en n’acceptant que ce qui est avantageux pour eux et en ne se soumettant qu’à cela, et que si une situation ne leur profite pas ou qu’elle leur vaut des souffrances, ils ne peuvent pas se soumettre, et ils vont jusqu’à se plaindre et à se sentir en résistance, exprimant leurs griefs à l’égard de Dieu. Je me comportais exactement comme un antéchrist. Dans mes devoirs, je ne tenais compte en premier que de mes intérêts charnels. Quand j’avais coopéré avec Chen Jing, elle avait géré et résolu toutes les difficultés, de sorte que je n’avais pas eu à faire trop d’efforts, et j’avais pu accepter et me soumettre. Quand Chen Jing avait été promue et que j’avais dû gérer le travail de l’Église seule, j’avais eu à réellement souffrir et à payer un prix dans tous les aspects du travail, et je n’avais donc pas pu me soumettre. Je n’avais pas voulu que Chen Jing parte, et je m’étais plainte que les dirigeants ne compatissaient pas à mes difficultés. Même si je semblais occupée par mes devoirs, mon cœur était plein de résistance et de récriminations, et je me disais sans cesse que faire ce devoir engendrait une trop forte pression. En réfléchissant à la façon dont les dirigeants supérieurs avaient déplacé Chen Jing en se basant sur les besoins du travail de l’Église, je me suis rendu compte que cet arrangement était conforme aux principes, mais j’étais en résistance et insatisfaite. C’était ne pas se soumettre à la vérité et résister à Dieu.
Puis j’ai pensé à la façon dont j’avais fait mes devoirs de dirigeante depuis plus de trois mois, mais que je n’étais toujours pas capable de saisir le travail requis pour une dirigeante d’Église. Je ne comprenais que partiellement le travail dont j’étais responsable, et encore moins celui dont Chen Jing avait été chargée. Au cours des derniers mois, j’avais vécu dans un état qui consistait à se complaire dans le confort et à faire dans l’à-peu-près, avec peu de compréhension. J’ai alors lu ces paroles de Dieu concernant mon état : « Si les gens recherchent constamment le confort et le bonheur physiques, s’ils poursuivent constamment le bonheur et le confort physiques et ne souhaitent pas souffrir, alors même un peu de souffrance physique, même souffrir un peu plus que les autres ou être un peu plus surmené que d’habitude les ferait se sentir réprimés. Voilà l’une des causes de la répression. Si les gens ne considèrent pas qu’un peu de souffrance physique est un gros problème et s’ils ne poursuivent pas le confort physique, mais qu’ils poursuivent plutôt la vérité et cherchent à mener à bien leurs devoirs afin de satisfaire Dieu, alors, souvent, ils ne ressentiront pas de souffrance physique. Même s’ils se sentent parfois un peu occupés, fatigués ou épuisés, après avoir dormi, ils se sentiront mieux au réveil, puis ils continueront leur travail. Ils se concentreront sur leurs devoirs et sur leur travail. Ils ne considéreront pas qu’un peu de fatigue physique est un problème important. Cependant, lorsqu’un problème surgit dans la pensée des gens et qu’ils poursuivent constamment le confort physique, chaque fois que leur corps physique est légèrement lésé ou ne peut pas trouver satisfaction, certaines émotions négatives surgissent en eux » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). « Quel que soit le travail qu’on donne à ces gens-là – qu’il soit important ou ordinaire, difficile ou simple –, ils sont constamment négligents, fuyants et fainéants. Quand des problèmes surviennent, ils essaient de rejeter la responsabilité sur les autres ; ils n’assument pas de responsabilités, et ils souhaitent continuer à vivre leur vie de parasite. Ne sont-ils pas des déchets inutiles ? En société, qui ne doit pas compter sur lui-même pour gagner sa vie ? Une fois devenu adulte, on doit subvenir à ses propres besoins. Les parents ont assumé leurs responsabilités. Même s’ils désiraient apporter leur soutien à leur enfant, celui-ci en serait gêné. Il devrait être capable de réaliser que ses parents ont fini leur mission d’éducation, qu’il est un adulte normalement constitué et qu’il devrait être capable de vivre de façon autonome. N’est-ce pas le minimum de raison qu’un adulte devrait avoir ? Si quelqu’un est vraiment doté de raison, il ne peut en aucun cas continuer à vivre aux crochets de ses parents ; il craindrait les rires des gens, et de perdre la face. Donc, celui qui aime le confort et déteste le travail est-il doté de raison ? (Non.) Il veut toujours quelque chose en échange de rien, il veut ne jamais assumer la moindre responsabilité, et attend que tout lui tombe tout cuit dans la bouche ; il veut systématiquement ses trois repas par jour, que quelqu’un s’occupe d’eux, et déguster de délicieuses nourritures et boissons sans travailler le moins du monde. N’est-ce pas là l’état d’esprit d’un parasite ? Et les gens qui sont des parasites ont-ils une conscience et de la raison ? Possèdent-ils intégrité et dignité ? Absolument pas. Ils ne sont que des bons à rien profiteurs, des bêtes sans conscience ni raison. Aucun d’entre eux n’est apte à demeurer dans la maison de Dieu » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). Dieu dit qu’une personne douée d’une raison normale, quand elle atteignait l’âge adulte et pouvait vivre de façon autonome, devait être capable de subvenir à ses besoins grâce à son propre travail, mais qu’une personne qui aime la facilité et haïssait le travail, même si elle est capable de survivre, sera réticente à travailler et vivra au crochets de ses parents. De telles personnes sont comme des parasites. Elles manquent d’intégrité et de dignité, et ne sont pas dignes de vivre. Je me comportais exactement comme ces gens qui vivent aux crochets de leurs parents, ainsi que Dieu l’expose. Quand j’avais travaillé avec Chen Jing, je m’étais montrée dépourvue de motivation et j’avais compté sur elle pour tout. Et quand des difficultés et des problèmes étaient apparus dans le travail de l’Église, je les avais refourgués à Chen Jing pour qu’elle les résolve, de sorte que je n’avais pas eu à me donner de mal et que j’avais pu me la couler douce. Quand Chen Jing avait été transférée, j’avais vu que j’allais devoir me soucier et m’occuper de tout le travail moi-même, alors je m’étais sentie affligée et frustrée, j’avais été incapable de l’accepter et de me soumettre, et j’avais même voulu garder Chen Jing avec moi pour ne pas avoir à souffrir et payer un prix. Dieu dit : « Ils se concentreront sur leurs devoirs et sur leur travail. Ils ne considéreront pas qu’un peu de fatigue physique est un problème important. Cependant, lorsqu’un problème surgit dans la pensée des gens et qu’ils poursuivent constamment le confort physique, chaque fois que leur corps physique est légèrement lésé ou ne peut pas trouver satisfaction, certaines émotions négatives surgissent en eux » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). Ma chair était tellement paresseuse que lorsque la pression professionnelle augmentait, je me sentais frustrée et résistante. Mon problème principal résidait dans mes pensées et mes points de vue. Les idées de Satan qui endoctrinaient les gens, comme « La vie est courte, alors profites-en tant que tu le peux » et « Traite-toi bien tant que tu vis », me contrôlaient, ce qui me rendait très égoïste et fainéante, et je voulais seulement satisfaire la chair, compter sur les autres et profiter du fruit de leur labeur. Je ne voulais endurer aucune souffrance moi-même, je voulais simplement vivre comme un parasite, une profiteuse qui vivait aux crochets de ses parents, en croyant que vivre ainsi était confortable. Au cours des derniers mois, ma chair avait été à l’aise, mais je n’avais fait aucun progrès dans mon devoir, et j’avais gagné très peu de vérité. En tant que dirigeante, j’aurais dû assumer la totalité du travail avec ma partenaire, mais je m’étais montrée paresseuse, je m’étais livrée au confort de la chair, j’avais peu contribué à mon devoir, et je n’avais même pas rendu service d’une façon qui était à la hauteur. J’ai songé que les profiteurs qui vivaient aux crochets de leurs parents, dans le monde profane, se complaisaient dans la chair, mais vivaient sans intégrité ni dignité, et étaient méprisés par tout le monde, et que leurs parents eux aussi se sentaient honteux d’avoir de tels enfants. Si je ne changeais pas cet état d’esprit paresseux et digne d’un parasite, Dieu serait certainement dégoûté par moi et me détesterait, Il m’éliminerait des rangs de ceux qui font leurs devoirs, et je perdrais toute chance d’être sauvée. Voyant à quel point les conséquences étaient graves quand on vivait selon les pensées et opinions de Satan, j’ai voulu me fier à Dieu pour changer l’état dans lequel je faisais mon devoir.
Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu et j’ai gagné un chemin de pratique : Dieu Tout-Puissant dit : « Si tu es une personne déterminée, si tu peux considérer les responsabilités et les obligations que les gens doivent assumer, les choses que les gens ayant une humanité normale doivent réaliser et les choses que les adultes doivent accomplir comme les buts et objectifs de ta poursuite, et si tu peux assumer tes responsabilités, alors quels que soient le prix que tu paies et la souffrance que tu endures, tu ne te plaindras pas, et tant que tu reconnaîtras cela comme les exigences et l’intention de Dieu, tu pourras endurer n’importe quelle souffrance et mener à bien ton devoir. À ce moment-là, quel sera ton état d’esprit ? Il sera différent : tu ressentiras la paix et la stabilité dans ton cœur, et tu éprouveras du plaisir. Tu vois, simplement en cherchant à vivre une humanité normale, et en poursuivant les responsabilités, les obligations et la mission que les personnes ayant une humanité normale devraient assumer et entreprendre, les gens éprouvent un sentiment de paix et de joie dans leur cœur et ils font l’expérience du plaisir. Ils n’ont même pas atteint le stade où ils mènent les affaires conformément aux principes et obtiennent la vérité qu’ils ont déjà subi certains changements. Ces personnes sont celles qui ont conscience et raison. Ce sont des gens droits qui peuvent surmonter n’importe quelle difficulté et entreprendre n’importe quelle tâche. Ce sont les bons soldats de Christ, ils ont suivi une formation et aucune difficulté ne peut les vaincre. Dites-Moi, que pensez-vous d’un tel comportement ? Ces gens n’ont-ils pas une force d’âme ? (Si.) Ils ont effectivement une force d’âme et on les admire » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). Ces paroles de Dieu m’ont indiqué un chemin de pratique. En tant qu’adulte doué de conscience et de raison, quelles que soient les difficultés qui se présentent dans le travail, on doit supporter la pression et assumer ce travail. Seuls ceux qui font bien leurs devoirs en tant qu’êtres créés sont des individus droits et adéquats. J’ai pensé que, lorsque Dieu avait ordonné à Noé de construire l’arche, Noé n’avait même jamais vu à quoi cette arche ressemblait, et qu’il avait fait face à des difficultés sans précédent, mais qu’il n’avait pas songé aux souffrances qu’il allait endurer ou au prix qu’il allait devoir payer, et qu’il ne s’était concentré que sur la façon d’achever la commission que Dieu lui avait donnée. À cette époque, il n’y avait pas de machines perfectionnées, et Noé avait dû trouver du bois, abattre des arbres, et les transformer en matériaux de construction navale, et aucune de ces étapes n’avaient été aussi simples ou faciles que l’on pourrait l’imaginer. Mais Noé n’avait eu qu’une seule idée en tête, qui était de construire l’arche aussi vite qu’il le pouvait, conformément aux spécifications de Dieu. En comparant le caractère de Noé au mien, j’ai eu honte. Dieu avait parlé très clairement quant à tous les principes impliqués dans ce devoir qui était le mien. S’il y avait des incertitudes, je pouvais demander conseil aux dirigeants supérieurs, et il y avait de nombreuses connaissances professionnelles auxquelles je pouvais me référer et desquelles je pouvais apprendre. Du moment que j’y consacrais davantage de temps et d’efforts, je pouvais bien faire mon devoir. En faisant le devoir d’une dirigeante, j’aurais dû exécuter diverses tâches, mais ma paresse et mon manque de motivation m’avaient amenée à être indifférente au travail dont Chen Jing était responsable, et je ne m’en étais pas mêlée. Mais maintenant que Chen Jing avait été transférée, j’étais obligée d’acquérir un sens du fardeau pour assurer le suivi du travail et résoudre les problèmes, ce qui allait m’aider et promouvoir ma pratique de la vérité et mon entrée dans les principes. Si Chen Jing n’avait pas été transférée, je vivrais encore dans un état où je comptais sur les autres, je n’aurais guère fait de progrès, et je n’en serais pas non plus venue à penser de façon autonome aux problèmes et à les résoudre. Comprendre un peu plus l’intention de Dieu a atténué une grande partie des mes émotions opressives.
Un jour, en septembre, en apprenant que plusieurs frères et sœurs avaient été arrêtés par le PCC au même moment, je me suis sentie instantanément dépassée, et j’ai pensé : « Dans le passé, c’était Chen Jing qui gérait toujours les répercussions des arrestations dans l’Église, mais maintenant, je vais devoir m’en charger moi-même, et je vais également devoir échanger sur la vérité et résoudre les états des frères et sœurs qui vivent dans la peur. Je vais avoir à faire tant d’efforts et payer un tel prix ! Tout cela va être tellement pénible. Les choses iraient tellement mieux si Chen Jing n’était pas partie, je n’aurais alors pas à lutter contre ce problème. » Quand j’ai pensé de cette façon, je me suis rendu compte que je vivais à nouveau dans un état où je satisfaisais la chair, alors j’ai prié Dieu en silence. J’ai songé aux arrestations des frères et sœurs, et au fait que l’intention de Dieu était que j’en gère les répercussions aussi vite que possible, pour garantir la sécurité des livres des paroles de Dieu et des frères et sœurs, et soutenir et aider les frères et sœurs négatifs et faibles. Même si cela pourrait être fatiguant physiquement, cette situation soudaine était un test pour moi, et cela pouvait me former à avoir la capacité de gérer les problèmes moi-même. Ayant cela à l’esprit, j’ai rapidement discuté de ces problèmes et pris des dispositions à leur sujet avec les frères et sœurs, je me suis renseignée pour savoir si les livres des paroles de Dieu étaient en sécurité, je me suis vite arrangée pour que les frères et sœurs qui étaient en danger soient déplacés, et j’ai demandé conseil aux dirigeants supérieurs quand il y avait la moindre incertitude. Les répercussions des arrestations ont été gérées rapidement, et les intérêts de l’Église n’ont pas subi de pertes significatives. Plus tard, quand l’Église a fait face à de nouvelles arrestations, j’ai su comment gérer la situation.
La réaffectation du devoir de ma partenaire a révélé ma nature consistant à me complaire dans le confort, et cela m’a également montré à quel point j’avais fortement compté sur les autres. Si je n’avais pas vécu une telle situation, je n’aurais fait aucun progrès jusqu’à maintenant. Ma compréhension et mes gains actuels résultent des paroles de Dieu. Dieu soit loué !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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